.Contexte.

L’école des arts culturels de Mashiro Ironagi avait vu le jour au 16ème siècle. Toute la haute bourgeoisie y envoyait leurs fils pour qu’ils apprennent les arts nobles, tel que la cérémonie du thé, ou la danse. Car oui, les jeunes hommes japonais de cette époque devait savoir danser, jouer de la musique. Les geishas étaient des êtres sois homme sois femme. Les traditions de cette école continue de plus belle depuis. Des centaines de directeurs sont passés par les bureaux de cette prestigieuse école jusqu’en 1950.

A cette époque, les guerres avaient changé la face du monde, et surtout de ce pays sublime qu’était le Japon et il fallait bien que ce dernier retrouve une vie jeune. Mais encore heureux, notre belle école ne fut même pas touchée, se trouvant au pied de plusieurs montagnes, accompagnées de sources d’eau chaude naturelle. Coupée alors de toute civilisation, le bâtiment se retrouvait sans propriétaire et assez vite déserté, mais un ancien élève, qui avait maintenant dévié de carrière ‘culturelle’, choisit de la remettre à neuf, gardant les normes traditionnelles, mais en y ajoutant quelques petites choses.

Maintenant, cette école éduque les jeunes hommes qui le souhaitent pour qu’il fasse carrière dans le domaine érotique et pornographique. Mais n’oubliez pas, les cours portant sur les arts traditionnels restaient alors au programme.